Lizzie =) |UC|

Parce qu'il faut bien commencer par un début......

☼ Parents: Mes parents... parlons en tiens de mes parents. Ma mère Gabriella Siline, est une hongroise. Elle vient d’une famille issue elle même d’une petite noblesse. Je n’ai pas grand chose à dire sur elle, si ce n’est qu’elle est la présence qui m’a toujours manqué. En effet, je ne l’ai jamais connue, elle est morte quand j’avais deux ou trois ans. Je n’en garde comme souvenir que les photos que j’ai vu d’elle, dans le manoir de Papa. C’était une belle femme, avec un regard triste mais doux, lointain, fixant quelque chose derrière le photographe, un fin sourire sur des lèvres fines et légèrement pincées. De lourds cheveux blonds tombant dans de longues boucles. J’ai d’ailleurs hérité de ses cheveux blonds, bien que je me les teigne souvent. Elle me paraît plutôt menue, et d’après mon père, elle n’était pas très grande. Mais il n’en parlait pas beaucoup. Anton, mon frère, n’en parlait jamais lui. Je crois que son décès l’a plus affecté que moi. En même temps, il est beaucoup plus âgé aussi...
Mon père... mon père lui, est russe. Ses origines sont floues. Le seul truc à retenir, c’est qu’il était chef d’un grand réseau mafieux plus ou moins sombre. En tout cas, il était riche, et c’est de père en fils depuis quelques générations maintenant. C’était un grand homme tout en muscle. Charpenté comme un bûcheron, la barbe en moins. Il était beau mon père, très beau, d’une classe inouïe et d’un charisme fou, mais d’une froideur de caractère à faire briser les glaciers d’un regard. Mais c’était un grand homme. Il est mort lors de la catastrophe.
Mes parents se sont rencontrés à St Petersbourg. Ma mère était musicienne, pianiste. J’ai toujours voulu maîtriser cet instrument qui trônait dans le salon, le piano de ma mère. Avant même de savoir écrire, je prenais déjà des cours. Mais passons, ce n’est pas là le sujet. Ma mère était donc pianiste dans un orchestre. Mon père accompagnait le sien au concert que donnait l’orchestre un soir, à Saint Petersbourg. Il est comme qui dirait tombé littéralement amoureux de cette jeune pianiste rafinée. Oui, parce qu’ensuite, mon père et mon grand père, ainsi que quelques autres personnes, ont été invitées à manger avec les musiciens. Et puis là, coup de foudre comme qui dirait. Ils avaient respectivement, vingt-cinq ans pour ma mère, vingt-neuf pour mon père. Après un an à se faire la cours, ils sont mariés. Puis mon frère, Anton, est né trois ans plus tard. Six ans après Anton, je venais au monde. Ma mère est morte deux ans plus tard, dans un accident de voiture.
☼ Frères et soeurs : Mon frère, Anton, était l’être le plus beau qu’il m’ait jamais été donner de voir. Il avait pris le meilleur de mes deux parents. Il était parfait. Physiquement. Moralement. Un être doux, attentif aux autres, gentil, intelligent, doué. Bref, l’homme parfait. Et c’était mon frère. Je l’aimais Anton, plus que tout, plus que ma propre vie. Lui aussi est mort. Il est mort dans une fusillade, en voulant protéger mon père. Jamais je ne me suis remise de cette morte, je pleure encore mon frère. C’est un plaie qui jamais ne se refermera. Il est mort, âgé de 19 ans. J’en avais moi même 13. J’ai alors su que c’est moi qui devrait reprendre le flambeau. Bref, passons, encore une fois je m’éloigne.
☼ Enfants: Aucun pour le moment.
☼ Epouse ou Mari: Idem.

Parce que vous êtes unique.....

☼ Physique: Je suis assez banale. Il est vrai que je ne bats pas des record avec mon mètre soixante dix, mais je ne suis pas non plus un minipouce. Assez mince, légèrement musclée, je suis d’une nature assez fine, et je peux manger tout et n’importe quoi sans jamais grossir – ce qui m’arrange bien d’ailleurs. Ma peau est pâle, comme la porcelaine, je ne peux pas bronzer, ou alors après être passée par le stade homard avant. Donc je reste pâle comme la neige.

Musclée donc nous disons, et souple. Car il est vrai que j’aime le sport, une semaine sans en faire et je deviens folle. J’ai besoin de me dépenser, pour oublier, pour garder la forme aussi. J’ai appris à manier les armes à feu il y a pas mal de temps. Je m'entraîne donc régulièrement. J’ai acquis une certaine souplesse au fil du temps, grâce à la danse notamment.

Maintenant, passons au visage, vous voulez ? Je suis blonde de nature, mais les coloration sont mes amies, je peux donc changer de couleur de cheveux quand il me chante. Chevelure que je tiens de ma mère, le seul vrai beau cadeau qu’elle m’ait jamais fait. Merci maman. Je prends soins de mes cheveux, bouclés ou lisses, selon mes envies, toujours assez longs. Ils encadrent des yeux marron d’une forme assez banale, que cette fois, je tiens de mon père. J’ai un visage assez joli je trouve, surmonté d’un petit nez assez droit, de belles paumettes et d’une bouche que je trouve jolie. Mon maquillage est soft, le mode « pot de peinture », très peu pour moi. De toute façon, avec ma peau pâle, je n’ai pas vraiment le choix.

Je n’ai pas vraiment de style vestimentaire défini. Je peux donc porter jeans-baskets un jour et robe classe et talons le lendemain. La mode n’est pas vraiment mon centre d’intérêt, je m’habille quand j’aime, pas comme les autres aimes. Mais si je devais suivre une mode, ce serait celle des années soixante, que je trouve très belle. D’ailleurs, si vous voudriez me donner un genre vestimentaire, ce serait plutôt robe des 60’.

☼ Caractère: A. A comme arrogante. Lizzie s’est dotée au fil des années d’un ego assez impressionnant. Elle n'hésitera pas à mépriser et être insolente pour s’affirmer. Ce trait de caractère est très complémentaire de sa franchise.

B. Bordellique. Qui a dit que Liz était une fille organisée ? Vous avez vous sa chambre ? C’est Bagdad. Encore que....

C. C comme confiante. Oui, Liz est quelqu’un qui a énormément confiance en elle et en ses capacités. Elle sait ce qu’elle vaut et a tendance à avoir confiance en elle. Trop peut-être, ce qui peut la perdre.

D. D comme débrouillarde. La jeune fille cherchera toujours à se débrouiller par elle même, de se dépêtrer comme elle peut. Elle ne compte que rarement sur les autres. Elle cherchera les solutions à ses problèmes, obstacles, ennuis, seule. Si vraiment, elle ne peut pas s’en sortir seule, elle considéra l’idée de demander de l’aide.

E. E comme éclectique. Les goûts de la jeune fille sont tous plus variés les uns que les autres, que ce soit en musique, en arts, en littérature, en cinéma. Elle est curieuse et s'intéresse à nombreuses choses très différentes.

F. F comme franche. Et oui, la franchise... ce bel atout. Quand elle parle, c’est de façon franche et directe et elle dira ce qu’elle pense de quelque manière que ce soit, quitte à blesser l’autre. Si quelqu’un lui cherche embrouilles, il trouvera une jeune fille froide avec beaucoup de répondant. En effet, Lizzie ne fait pas dans la dentelle, quand elle veut dire quelque chose, elle le dit, sans faire preuve de tact, quitte à blesser son interlocuteur. Elle peut être toute à fait mordante dans ses réparties comme violente physiquement. Quelque soit la manière employée, l’interlocuteur comprendra où elle veut en venir. Mais de toute façon, elle ne parle presque pas anglais, donc... x]

G. G comme gourmande. La jeune fille aime les sucreries, particulièrement le chocolat. Elle ne ferait pas n’importe quoi pour en avoir -pas son genre- mais elle apprécie d’en manger de temps en temps. Par chance, elle peut engloutir tout ce qu’elle veut sans jamais vraiment grossir...

H. H comme humour. La jeune femme possède un humour bien particulier, qui ne fera pas rire tout le monde, car souvent sec et direct, ironique et noir. H comme honnête aussi. Cela peut paraître étonnant, mais la jeune fille, sans être l’honnêteté même, Liz est quelqu’un de relativement intègre. Mais n’essayait pas de la rouler, vous connaissez l’expression... Chassez le naturel, il revient au galop.

I. Comme intègre justement. Ou plutôt, intransigeante. Liz n’admet aucune concession ni aucun compromis. Si elle veut se faire respecter par les hommes de son père, c’est malheureusement l’un des seuls moyens.

J. comme joviale. La jeune fille aime néanmoins rire et plaisanter. C’est une jeune fille qui se révèle des plus agréables une fois qu’on la connaît. Son sourire illumine son visage et ses yeux. Mais ne vous y trompez pas..

K. K comme kwêêêêêh ! è_é. J’avais réussi à trouver un mot en K pour l’un de mes personnages, mais il ne correspond pas du tout à celui ci. Uu’. Donc, ben Kwêêh. Uu’

L. L comme loyale. La jeune fille est d’une fidélité indéfectible. Une fois qu’elle a accordé sa confiance à quelqu’un, elle lui sera fidèle en tout et jusqu’au bout. Mais pour autant, il faudrait déjà qu’elle accorde sa confiance à quelqu’un.

M. M comme mature. Lizzie a toujours fais preuve d’une maturité avancé, dès son plus jeune âge, qui lui permet une réflexion et de prendre du recul quelque soit la situation. Liz n’est pas une jeune fille impulsive. Même si elle peut parfois étonner de part ses réactions...

N. N comme nawak cette présentation quand même, vous trouvez pas ? u_u.

O. O comme ouverte. Elizabeth est quelqu’un de particulièrement ouverte d’esprit, contrairement à ce qu’on pourrait penser. Curieuse et passionnée, elle ira au delà des apparences, pour quoi que ce soit- se faire sa propre idée.

P. P comme passions. Liz est passionnée par la musique, qu’elle pratique depuis toujours. Elle ne peut pas vivre sans musique, c’est tout bonnement impossible. Elle aime aussi la danse, qu’elle pratique aussi depuis de nombreuses années. Les Arts en générales attirent beaucoup la jeune fille. La photographie aussi notamment. D’ailleurs, ce n’est pas pour rien qu’elle est en fac d’art...

Q. Q comme qualité. Oui, on peut les chercher sur cette fiche, mais elle en a. Juste, elles ne correspondent pas forcément à des lettres, ou alors elles étaient déjà utilisées... Elle a aussi des défauts

R. R comme rancunière. Jamais, au grand jamais ne vous mettez Liz à dos, car ce que vous lui avait fait, elle s’arrangera pour vous le rendre au centuple si elle ne le peux. Liz n’oublie jamais et elle se venge toujours, dans la mesure de ses possibilités.

S. comme sportive. La jeune fille aime faire du sports, mais pas n’importe quels sports, les sports extrêmes sont ses préférés. Les cours de motos à toute à vitesses dans les rues, le saut en parachute feront son plaisir.

T. T comme têtu. Plus obstinée tu meurs. La jeune fille déteste avoir tort et n’admettra ses torts et ses erreurs très difficilement.

U. U comme unique. Ben oui, chaque personne est unique, et puis j’ai pas d’autres idées pour cette lettre. Mais de toute façon, il n’y en a pas deux comme Liz, tant pour son caractère que pour ses réactions ou encore sa façon d’être.

V. V comme vulnérable. Même si elle ne se l’avoue pas, Lizzie est beaucoup plus fragile qu’elle ne veut bien le laisser paraître. Trop fière pour le montrer, trop orgueilleuse pour l’étaler, elle ne dit rien et reste avec ses faiblesses qu’elle tente de combler, vainement.

W. W comme wèèèèèèèèèèèèèèèèèh ! Y’a rien en W.

X. X comme heu... Xylophone ? oÔ

Y. Y comme Yaaaaaaaaaaaaaaahaaaaaaaaa, c’est la fin de la fiche de caractère! o/

Z. Z comme Zzzzz. C’est la fin de l’histoire les enfants, il est temps d’aller se coucher.

Parce que votre expérience nous intéresse.....

☼ Histoire:Mes parents se sont rencontrés à St Petersbourg. Ma mère était musicienne, pianiste. J’ai toujours voulu maîtriser cet instrument qui trônait dans le salon, le piano de ma mère. Avant même de savoir écrire, je prenais déjà des cours. Mais passons, ce n’est pas là le sujet. Ma mère était donc pianiste dans un orchestre. Mon père accompagnait le sien au concert que donnait l’orchestre un soir, à Saint Petersbourg. Il est comme qui dirait tombé littéralement amoureux de cette jeune pianiste raffinée. Oui, parce qu’ensuite, mon père et mon grand père, ainsi que quelques autres personnes, ont été invitées à manger avec les musiciens. Et puis là, coup de foudre comme qui dirait. Ils avaient respectivement, vingt-cinq ans pour ma mère, vingt-neuf pour mon père. Après un an à se faire la cours, ils sont mariés. Puis mon frère, Anton, est né trois ans plus tard. Six ans après Anton, je venais au monde. Ma mère est morte deux ans plus tard, dans un accident de voiture.
J’ai vu le jour un 25 avril 1988. Cette année là, à Saint Petersbourg, il y avait encore de la neige dans les rues. Tout comme à Budapest. Ca tombe bien, c’est la ville où je suis née. Mes parents étaient venus rendre visite à la famille maternelle. Ce n’est pas un jour particulièrement important... Si on met ma naissance de côté. Ce soir là, tout le clan Nikonov a fêté en bonne et due forme l’évènement. J’ai eu une enfance plutôt heureuse et tranquille, derrière les hauts remparts financiers que mon père avait dressé pour sa famille, complétant ainsi le travail de ses ancêtres. Il faut prendre en compte qu’à cette époque, l’URSS existait encore, le système économique était bien différent, la vie était beaucoup plus dure. Mes parents faisaient parti de l’élite de la société, nous n’avons donc jamais connu de problèmes et après la chute du mur de Berlin, rien n’a vraiment changé pour nous.

J’ai donc eu une douce enfance, malgré le fait que ma mère soit morte durant ma petite enfance et que je ne l’ai jamais connue autrement que par des photos. Mais j’avais trouvé un moyen de me rapprocher d’elle : le piano. Il trônait dans le salon, sans personne qui ne le touchait. La première fois que j’ai posé mes mains sur les touches, j’avais quatre ans, mon père est entré dans une colère noire, j’ai cru qu’il allait me tuer. Mais à force de persuasion et d’insister, j’ai réussi à obtenir de prendre des cours. Ainsi, avant même de savoir écrire, je faisais déjà de la musique. Plus tard, j’ai commencé la guitare, puis très vite aussi, la danse classique. J’ai depuis toute petite été passionnée par les arts. J’ai reçu mon premier appareil photo à l’âge de dix ans, un petit truc merdique avec lequel je prenais en photos les fleurs du jardin. Mais la passion était née et ne m’a plus jamais quittée. Mais revenons à ma petite enfance.

Je n’allais pas à l’école, mon père me payait des cours à domicile, comme pour mon frère d’ailleurs. J’adorais apprendre, mais une vie sociale de petite fille me manquait. Mon seul ami était le fils du bras droit de mon père, Shallan. C’est d’ailleurs aujourd’hui la personne la plus proche de moi. On se connaît par cœur. Mais je n’avais presque pas le droit de sortir de l’immense propriété de me mon père. J’y ai d’ailleurs fait mes plus grosses bêtises je crois. Mais ce temps où je n’allais pas à l’école me permettait de pratiquer de nombreuses activités. Ainsi, en plus du piano, auquel je m’accrochais au grand désespoir de mon père et de mon frère -cet instrument remuait trop de choses en eux-, je pratiquais aussi la danse classique.

J’ai grandi et je me suis affirmée en tant que moi, devenant ce que je suis maintenant. Un être complexe. Je suis entrée au collège. Ce fut une dure épreuve pour moi. Moi qui n’avait jamais connu la compagnie d’autres enfants, sauf celle de Shallan et des autres enfants des membres du clan de mon père, je n’y connaissais rien en relation sociale. Me faire donc des amis a donc été une dure épreuve. J’ai d’ailleurs toujours du mal à accorder ma confiance et a aller vers les autres. J’ai suivit une excellente scolarité, ne voulant pas décevoir mon père. Lire la fierté dans ses yeux quand il voyait mes résultats était pour moi un véritable bonheur.


Chapitre 2. LA CHUTE.

Pourtant, le bonheur est éphémère, on devrait pourtant le savoir. Je vivais sur un petit nuage globalement, mais il a fallu que quelque chose vienne entacher cette joie. La mort de mon frère. Pourtant, j’aurai du y être préparée. Il devait prendre la succession de mon père et participait à de plus en plus de mission. Et puis un jour, tout a dérapé. Je n’ai jamais vraiment su ce qui était arrivé. Je sais juste qu’il est mort en voulant protéger mon père lors d’une fusillade. Je me suis toujours promise de le venger; chose que j’ai faite d’ailleurs avant mon départ pour les Etats-Unis. J’avais treize ans quand il est mort, et cette perte m’a détruite à tout jamais. Si mon meilleur ami n’avait pas été là pour me soutenir, jamais je n’aurais pu continuer à vivre.

Il s’avéra que c’était moi qui prendrait la succession de mon père, celui ci a donc commencé ma formation, tandis que Shallan était formé à devenir mon futur bras droit. J’ai appris à manier les armes à feu, qui désormais n’ont plus aucun secret pour moi. Je suis, sans me vanter, devenue une tireuse émérite. Je continuais la danse classique, à un niveau très élevé maintenant. Le piano était toujours une passion présente dans ma vie, ainsi que la photo. J’avais aussi commencé la guitare, en même temps que mon entrée au lycée. Mais cette dernière activé était bien secondaire par rapport à la danse et au piano. J’y ai toujours été un mystère pour les autres, ne me mêlant presque pas à eux, restant dans mon coin, avec mes bonnes notes et mes amis dit « bizarre ». Et j’ai grandi, menant l’enquête sur la mort de mon frère de mon propre côté. Cela peut paraître bizarre, mais donner la mort m’a été enseigné très tôt, si bien que je la donne maintenant avec peu de scrupules. De toute façon, des scrupules, je ne peux me permettre d’en avoir si un jour je prends la tête de l’Empire de Papa..

Je me suis mise aussi en tête d’apprendre le hongrois en plus du russe, pour me rapprocher de maman. J’ai commencé à apprendre l’anglais aussi, mais c’est une langue qui me paraît complexe et que je ne maîtrise pas totalement. Disons que je suis me faire comprendre, mais que les subtilités de la langue m’échappent. Mais revenons à nos moutons, vous voulez ? La mort de mon frère m’a fait littéralement changée. Le monde de la nuit est devenu le mien et Shallan n’a rien pu faire pour empêcher ça. Il s’est contenté de me suivre et de m’aider. Tout en continuant mes études, je pris de l’importance auprès de mon père. Celui ci plaçait en moi les mêmes espoirs qu’il avait mis en mon frère. Ce que j’acceptais avec une fierté relative cet honneur, me préparant tout de même à devenir leader. Je connaissais depuis longtemps le fonctionnement et les hommes de mon père, j’étais déjà respectée et Shallan et moi formions un duo complet, que notre longue amitié, notre passion commune pour la danse et notre formation avait rompu au travail collectif.

A dix-neuf ans, j’étais prête à prendre la succession, ma formation était achevée, j’avais toutes les cartes en main pour réussir. J’étais entrée dans une fac d’Arts, pour me consacrer à mes passions qu’étaient la musique, la photographie et la danse. J’avais commencé la danse moderne. Bref, j’avais une vie comblée, j’étais à peu près reconstruite, j’avais fait le deuil d’Anton. Je préparai même sa vengeance. Mes escapades nocturnes m’avaient permis de retrouver qui avait tué mon frère bien aimé. Cette personne est maintenant dans la tombe. J’avais mis le temps pour me préparer. Et qui pourrait croire en me voyant que je suis une tireuse émérite. Je m’étais fait passé pour une catin auprès du type en question. Il a fini avec une balle entre les deux yeux. Il fut la première personne que je tuais. Il n’y en a pas eu beaucoup d’autre, bien heureusement.


Il y a eu cet catastrophe qui a dévasté mon pays en un rien de temps. Les populations n’ont même pas été prévenue, peu de personne ont survécu, pour ne pas dire personne. Mon père m’avait appelé en urgence quelques jours avant le crash pour m’ordonner de rejoindre le père de Shallan sur notre petite air d’aviation.. Comme a-t-il su ? Je n’ai jamais eu l’occasion de savoir, puisqu’il est mort de l’impact. Le père de Shallan était au rendez vous avec son fils. J’ai scruté les yeux de mon meilleur ami, dans l’espoir de comprendre, mais j’y lisais la même stupeur que dans les miens. Il a mis à notre disposition un avion pour nous envoyer à Boston. Il m’a remit une enveloppe, et m’a demandé le lire contenu une fois arrivé à destination. Nous n’avons pas eu le temps de répliquer, que nous nous sommes retrouvés dans l’avion. D’autres personnes étaient avec nous, c’est ainsi que je me suis rendue compte du nombre d’avions sortis et de personnes qui y montaient. Les hommes de mon père avait fait un travail fabuleux pour aider le plus de mon possible. Ce qui au final, fut vint.

Je n’ai pas tenu ma parole, que je n’avais même pas eu le temps de donner de toute façon et j’ai ouvert la lettre. Dans les grandes lignes, elle m'annonçait que je prenait la tête du Gang de mon père, que j’étais maintenant leader. Une partie de nos hommes étaient déjà sur place. A croire que mon père était au courant depuis le début et qu’il avait pris ses dispositions... Incompréhensible.

J’ai serré très fort la main de Shallan durant le vol. Celui ci gardait le regard fixe et les lèvres pincées. Il a lui aussi serré ma main. Je suis l’une des premières à être sortie de l’avion, suivit de Shallan. J’ai pu assister à un spectacle merveilleux en sans savoir que les particules qui étaient dans l’air ambiant me changerai à jamais. Mais très vite, nous avons été évacué.

Cela fait maintenant trois semaines que la Catastrophe a eu lieu, trois semaines que nous sommes à Boston. Je vis avec Shallan dans un vaste appartement du centre et je compile mes deux vies, celle de leader et celle d’étudiante. J’ai changé de nom, par mesure de prudence. Nikonov s’est transformé en Newbury.




☼ Relations amicales : Je ne vais pas facilement vers les autres. Je n'ai pas été à l'école, comme la majorité des enfants, mes premières relations sociales se sont donc crées au collège. Age ingrat, nous en conviendront. Elles sont donc rares, d'autant plus que ma confiance est une denrée rare que je distribue avec avarie.
Mais une fois qu'on me connait, elle peuvent très agréable.

☼ Relation amoureuses : J'ai 21 ans, que voulez vous que je vous parle de relation amoureuse ? oO Comme si j'avais déjà rencontré le grand amour. Alors oui, j'ai déjà eu des petits copains, rien de vraiment bien sérieux.

☼ Liens : /
Enfin, mon meilleur ami, Shallan (dont il faut que je fasse la fiche xD)

Parce qu'il y a une personne qui se cache derrière l'écran....

Pseudo:Sedna, Sednouille, Nounouille, Nouille xD.
Age: 17 ans =]
Célébrité utilisée :Kirsten Dunst
Comment avez vous connu le forum?Via un partenariat sur Neverland. Puis Austin m'a convaincu de venir.
Comment trouvez vous le design?Trop sombre pour mes pauvres yeux @_@. Mais pas mal en soit.
De quelconques suggestions?Heu... plus de clarté ? J'avoue qu'on est un peu perdu au début. enfin, je trouve uU
Est ce un double compte ? Si oui quel est le nom de votre premier personnage ?Nop, ce sera mon seul et unique compte ici je pense.
Remarques : OK par A.H.